jeudi 27 octobre 2016

Les brèves de la Gazette (fin octobre 2016)

Jeudi 27 octobre 2016 (1)la crise du LIST fait la "Une" du QUOTIDIEN qui publie en pages intérieures un dossier accablant. 

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Jeudi 27 octobre 2016(2): Il porte la parole de qui? 
Un certain Thomas Schoos "porte-parole du LIST" tente de minimiser la crise profonde qui secoue le LIST. Dans le dossier du Quotidien,Thomas Schoos qualifie la débandade au LIST de "Petites querelles entre collaborateurs". Un peu surréaliste, jeune homme! La gazette en profite pour lui demander quelques précisions. Comment a-t-il été recruté: après publication d'une ouverture de poste nouveau, par piston ou par un autre canal? Quand est-il entré en fonction au LIST? Quel a été le rôle du chef du personnel?
Pour l'ancienne responsable de la communication, une professionnelle de grande qualité, l'arrivée de ce "nouveau chef" ("Virun d'Nues gesaat") est la goutte qui a fait déborder le vase. Elle a quitté le LIST sans regrets...

Jeudi 27 octobre 2016 (3): Il parait que quelqu'un a supprimé les postes de directeur adjoint dans les départements de recherche? Si oui, on aimerait savoir pourquoi, quand, par qui? Est-ce en prévision d'une chute drastique des effectifs chercheurs?



Vendredi 28 octobre 2016: ...ce ne sont pas ceux qui ont été licenciés, démissionnés ou qui sont partis de leur plein gré qui posent problème, mais ceux qui sont restés...







Raymond Schadeck a certainement raison en soulignant le rôle primordial de la gestion des ressources humaines dans le processus de fusion. On pourrait ajouter que cela vaut aussi en période normale pour tout centre de recherche, il m'est souvent arrivé de le souligner. Dans le cas du LIST, il serait plus correct d'utiliser la notion de chef du personnel que celle de DRH. Par ailleurs, la crise du LIST ne se réduit pas au licenciement de Gabriel Crean. Il s'agit d'une longue chaîne d'erreurs de gouvernance, depuis la proposition de fusion formulée fin 2011 au CRP Tudor jusqu'à la démission du CEO du LIST. Durant ces cinq années, les responsables, jusqu'au plus haut niveau, sont restés insensibles à toute mise en garde. Pour remettre le LIST à flot, ce ne sont pas ceux qui ont été licenciés, démissionnés ou qui sont partis de leur plein gré qui posent problème, mais ceux qui sont restés. Ceux-ci sont définitivement disqualifiés pour analyser leurs propres fautes et pour sauver l'essentiel.


Samedi 29 octobre 2016 (2): au LIST on respecte les traditions, Halloween oblige.

"Event" trouvé tel quel sur le site du LIST.



Samedi 29 octobre 2016 (3) : concaténation de deux "event" du 07/09/2016 trouvés côte à côte sur le site du LIST.



Samedi 29 octobre 2016 (4) : le LIST, c'est "European Footprint", c'est "world class" et bientôt "top ten interplanétaire". Le tapage médiatique remplit le silence du vide...
  

2 commentaires:

Unknown a dit…

Tout à fait d'accord avec vous ! reduire les problèmes du LIST à des "soit-disant" entre collaborateurs c'est faux ! et en plus ni très professionnel ni très honnête !

Anonyme a dit…

Liberté d'expression oui, mais ces posts vont un peu loin tout de même... et cela n'aide pas les collaborateurs toujours présents au LIST ni les nouveaux arrivants..et certains propos, certains rapprochements sont tres insultants et hors contexte